Self-défense VS sports de combat

Self-defense VS sports de combat
Self-defense VS sports de combat

Self-défense vs Sports de combat : Le Grand Débat (et Quelques Baffes Bien Placées)

Self-défense VS Sports de combat. Rien que cette formule, et ça grince déjà des dents des deux côtés de la salle.

Depuis l’émergence du MMA, le débat s’est amplifié, les échanges s’échauffent, et ça donne presque envie de sortir un pop-corn (sauf si tu es celui qui se fait échauffer).

Mais alors, où placer le curseur entre l’efficacité redoutable de la self-défense et la rigueur technique des sports de combat ? Prenons un instant pour poser les gants, analyser les arguments et peut-être, qui sait, réconcilier ces deux mondes… ou pas.


Self-défense : la réalité de la rue, sans gants ni règles

En self-défense, on te vend souvent du rêve brutal : des frappes génitales, des coups de tête, et pourquoi pas un doigt dans l’œil en prime.

Ces techniques, qui feraient sauter un arbitre au plafond dans n’importe quel sport de combat, sont ici considérées comme des outils indispensables.

L’idée est simple : si ta vie est en jeu, il n’y a pas de fair-play. Mais soyons honnêtes, c’est aussi un terrain fertile pour les mythes et les illusions.

Les « coups interdits » : des atouts réels, mais pas magiques

Oui, un coup de genou bien placé dans les parties sensibles peut faire toute la différence.

Et un coup de tête dans le nez, ça calme même les plus acharnés. Mais voici le hic : encore faut-il savoir les placer. Les pratiquants de self-défense ne s’entraînent pas toujours avec la régularité ni l’intensité des sports de combat.

Résultat : beaucoup ne savent pas aligner un gauche-droite correctement. Sans bases solides, même la meilleure technique de rue peut devenir inutile.

La motricité globale : ton meilleur allié

Dans une situation de stress intense, ton cerveau oublie les mouvements complexes. Les techniques alambiquées ? Oublie ! Dans la réalité, tu vas te reposer sur des réflexes et des gestes simples.

Si tu as répété des mouvements basiques mais efficaces à l’entraîment, tu auras bien plus de chances de te défendre efficacement.

La self-défense le prône souvent, mais combien de pratiquants le mettent vraiment en pratique ?


Les Sports de Combat : Discipline et Techniques

Les sports de combat, comme la boxe ou le MMA, mettent l’accent sur la précision, la puissance et la résistance. Mais leurs règles sont souvent critiquées par les défenseurs de la self-défense.

Le Sambo de combat,le MMA, Le Kudo, le Sanda  : un équilibre entre technique et réalisme

Ils ont tous prouvé que l’efficacité réside dans une maîtrise technique globale : coups de poings, lutte, sol, etc. Les pratiquants de MMA, habitués à l’adversité réelle, savent s’adapter à des situations variées.

Les règles : un catalyseur de compétences

Si les règles limitent certains mouvements (comme les coups interdits), elles optimisent l’entraînement en sécurité. Gérer la distance, trouver son timing et apprendre à encaisser sont des compétences cruciales, même dans la rue.


Self-défense VS sports de combat : Les Points Communs

Les arts martiaux et les sports de combat partagent plusieurs points communs, bien qu’ils puissent différer en termes de finalité, de philosophie et de pratiques. Voici les principaux aspects communs :

1. La discipline physique et mentale

  • Les deux nécessitent un entraînement rigoureux pour développer force, endurance, souplesse et agilité.
  • La maîtrise mentale, la concentration et la gestion des émotions sont essentielles pour performer dans les deux domaines.

2. L’apprentissage de techniques spécifiques

  • Les deux impliquent l’apprentissage de techniques de frappe (poings, pieds), de défense (blocages, esquives) et parfois de lutte (saisies, projections).
  • Une progression structurée est souvent suivie, avec des niveaux ou des ceintures dans les arts martiaux, ou des catégories de compétitions dans les sports de combat.

3. Le respect et l’éthique

  • Le respect des règles, de l’adversaire et des enseignants ou entraîneurs est une valeur fondamentale dans les deux disciplines.
  • Les deux promeuvent l’esprit sportif et, dans le cas des arts martiaux, une philosophie de vie basée sur le respect et la maîtrise de soi.

4. La compétition ou l’application pratique

  • Les sports de combat et certains arts martiaux incluent des compétitions pour tester les compétences, dans un cadre réglementé et sécurisé (par exemple, boxe, judo, taekwondo).
  • Même en dehors de la compétition, les deux mettent l’accent sur l’application pratique des techniques pour se défendre ou répondre à des situations réelles.

5. Le développement personnel

  • Les deux favorisent la confiance en soi, la persévérance et l’auto-amélioration.
  • Les pratiquants apprennent à surmonter leurs limites physiques et mentales.

6. Le travail sur les réflexes et la coordination

  • Une bonne coordination œil-main, des réflexes rapides et une prise de décision efficace sont au cœur des deux disciplines.
  • Cela inclut également une conscience spatiale accrue et la capacité à anticiper les mouvements de l’adversaire.

7. L’histoire et la culture

  • Les deux ont souvent des racines historiques ou culturelles, bien que les arts martiaux soient plus étroitement associés à des traditions spécifiques (japonaises, chinoises, coréennes, etc.).
  • Certains sports de combat modernes ont évolué à partir d’arts martiaux traditionnels (par exemple, le MMA qui combine plusieurs disciplines).

8. L’importance de l’entraînement régulier

  • La répétition et l’entraînement intensif sont cruciaux pour perfectionner les techniques dans les deux domaines.
  • Les deux nécessitent une implication physique et mentale continue pour progresser.

En résumé, bien que les arts martiaux incluent souvent une dimension philosophique ou spirituelle plus marquée et que les sports de combat se concentrent davantage sur la performance sportive et la compétition, les deux partagent des bases communes liées à la discipline, à l’effort physique et à la maîtrise de techniques.

Self-défense VS sports de combat : Les Différences

Les arts martiaux et les sports de combat partagent des similitudes, mais ils présentent également des différences fondamentales en termes d’objectifs, de philosophie, et de pratique. Voici une comparaison pour mieux comprendre leurs distinctions :


1. Objectifs et finalités :

  • Arts martiaux :
    • Souvent enracinés dans des traditions et des philosophies anciennes (ex. : bouddhisme, taoïsme, bushido).
    • Vise le développement de soi, l’équilibre mental, et la maîtrise du corps et de l’esprit.
    • Peuvent inclure des aspects spirituels, culturels et rituels.
    • Exemples : Kung-fu, Karaté, Taekwondo, Aïkido.
  • Sports de combat :
    • Axés principalement sur la compétition et la performance athlétique.
    • Objectif principal : vaincre un adversaire dans un cadre défini par des règles.
    • Souvent dépouillés de leurs dimensions spirituelles ou philosophiques.
    • Exemples : Boxe, Judo, MMA, Kickboxing.

2. Règles et pratique :

  • Arts martiaux :
    • Les techniques peuvent inclure des frappes, projections, clés, armes traditionnelles, ou même des pratiques non compétitives (kata, formes).
    • Les affrontements réels ou simulés (kumité, randori) ne sont pas toujours la priorité.
    • La discipline met souvent l’accent sur la sécurité, l’étiquette et le respect.
  • Sports de combat :
    • Encadrés par des règles strictes pour assurer la sécurité des pratiquants.
    • Inclut des combats réguliers ou compétitions pour mesurer les compétences.
    • Axés sur l’efficacité des techniques en situation réelle de duel.

3. Origine et histoire :

  • Arts martiaux :
    • Issues de traditions anciennes, souvent liées à l’histoire et à la culture d’un pays.
    • Ont parfois été développés pour des besoins militaires ou d’autodéfense.
  • Sports de combat :
    • Évolués à partir d’arts martiaux ou de luttes populaires pour devenir des disciplines sportives modernes.
    • Ont souvent été adaptés pour inclure des spectateurs et attirer un public.

4. Philosophie et état d’esprit :

  • Arts martiaux :
    • Vise à cultiver des vertus telles que la patience, l’humilité, le respect et la discipline.
    • Souvent enseignés comme un mode de vie ou une voie de développement personnel.
  • Sports de combat :
    • Plus orientés vers la compétition, avec un objectif de victoire.
    • L’accent est mis sur la performance physique, la stratégie et l’endurance.

5. Usage des techniques :

  • Arts martiaux :
    • Techniques parfois complexes et symboliques, pas toujours adaptées aux situations modernes.
    • Certains mouvements sont conçus pour des situations de survie ou d’autodéfense.
  • Sports de combat :
    • Techniques généralement simplifiées et optimisées pour être efficaces en combat réel ou en compétition.
  • Les arts martiaux s’inscrivent dans une démarche plus globale et spirituelle, souvent tournée vers la tradition et l’harmonie personnelle.
  • Les sports de combat, eux, privilégient l’aspect sportif, compétitif, et la recherche de la victoire dans un cadre structuré.

Bien que les deux puissent se recouper (par exemple, le Judo est à la fois un art martial et un sport de combat), leur essence reste distincte.


Comment Choisir entre Self-défense VS sports de combat : Conseils pour Débutants

Quand on commence, il faut souvent faire avec les moyens du bord. On n’habite pas tous à Paris ou dans une grande métropole où chaque coin de rue abrite une salle de sport.

Souvent, le sport de combat ou la self-défense qui te conviendra le mieux, c’est tout simplement celui qu’on pratique dans le club à côté de chez toi. Si tu es jeune, ce sera aussi celui où tes parents peuvent t’emmener. Et c’est déjà un excellent point de départ !

Ne te mets pas trop la pression pour trouver « le meilleur » style ou discipline dès le départ.

L’important, c’est de te mettre en mouvement, d’apprendre les bases, et de développer ta condition physique.

Une fois que tu es dans le bain, tu auras l’occasion de participer à des stages ou des événements qui accueillent des pratiquants de toutes les disciplines. Ces expériences te permettront d’explorer d’autres approches, de rencontrer des passionnés et, pourquoi pas, de trouver la discipline qui te correspond vraiment.

Alors, ne t’inquiète pas si ton premier choix n’est pas parfait. Le plus important, c’est de commencer, de te faire plaisir et d’apprendre en chemin. Après tout, chaque coup que tu apprends, chaque erreur que tu fais, te rapproche de ton objectif : savoir te défendre et te sentir bien dans ton corps.


Une Self-défense Efficace

Une self-défense vraiment efficace ne se limite pas à t’enseigner quelques techniques spectaculaires. Elle doit t’aider à comprendre toute la dynamique d’une agression : l’avant, le pendant et l’après.

Avant : la prévention avant tout

La meilleure manière de se défendre, c’est d’éviter le conflit. Une self-défense efficace doit t’apprendre à :

  • Être attentif à ton environnement pour lire les signes avant-coureurs d’une situation potentiellement dangereuse.
  • Désamorcer les tensions par la communication, tout en te protégeant avec une posture de garde passive.
  • Connaître la réglementation en matière de légitime défense dans ton pays : savoir ce qui est légal, comment l’interpréter et connaître les jurisprudences.

Pendant : l’action rapide et efficace

Quand le conflit est inévitable, il faut savoir réagir vite et bien. Une self-défense efficace repose sur :

  • Des mouvements simples et naturels, répétés jusqu’à devenir des réflexes.
  • Neutraliser la menace tout en cherchant une issue pour fuir.
  • Prioriser la survie, pas la victoire. Mets ton ego de côté, évite les ennuis si possible. Oui, c’est frustrant, mais c’est le choix le plus intelligent ! 😉

Si tu fais partie des forces de l’ordre, de la sécurité, ou si tu es videur en boîte de nuit, ton rôle est différent : tu dois faire face et gérer directement les agressions.


Après : gérer les conséquences

Une fois l’agression terminée, tout ne s’arrête pas là. Une formation complète en self-défense doit inclure :

  • La gestion du choc émotionnel pour surmonter le stress et les traumatismes.
  • Les démarches post-agression : contacter les autorités, gérer les conséquences juridiques (dont on parle rarement) et protéger tes droits.
  • Se protéger par la suite : prendre soin de toi physiquement et psychologiquement pour retrouver un équilibre.

En résumé

Une bonne formation en self-défense va bien au-delà des coups et des techniques spectaculaires. Elle te prépare à gérer toutes les dimensions d’une agression pour maximiser tes chances de t’en sortir sain et sauf.

 


Les Meilleures Disciplines Self-défense VS sports de combat

Mon avis sur la question : je me mouille

La grande question : qu’est-ce que je pratiquerais, moi ? Ou encore, quel est pour moi le meilleur art martial pour la self-défense ? Soyons honnêtes, ma réponse sera subjective et non exhaustive, mais voilà ce que je pense.

Voici mes recommandations personnelles :

  1. Boxe anglaise : Simple, directe et efficace pour la maîtrise des poings.
  2. Boxe thaïlandaise : Low-kicks, genoux, et coups de coudes redoutables.
  3. Sambo de combat,Sanda,Kajukenbo,Yoseikan budo ou MMA : Un équilibre entre pied-poing et techniques au sol.
  4. Krav Maga : Conçu pour des scénarios réalistes et variés.
  5. KAPAP (Amit Himelstein) : Très très bon complément au Krav et j’y ai pris beaucoup d’éléments très utiles aux professionnels pour mes formations quand je suis devenu instructeur avec lui.Clique ici pour un aperçu
  6. Combatives : Approche militaire, simple et efficace.Ici une petite video de Lee morisson en action
  7. ACDS : Formation rapide sur la self-défense et les armes.

Pourquoi pas le ju-jitsu ??? évidemment que tu peux l’ajouter mais il n’est pas dans mon best-of car je le trouve trop évolué techniquement et c’est très bien si tu ne fais que çà mais limité pour la self car de mon point de vue les gens vont au sol même dans la rue et je trouve cela dangereux s’il y a d’autres personnes impliquées ou des armes).

Pas de coups, projections limitées voire des cours uniquement concentrés sur le sol.

Attention ! ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit, si tu n’as qu’un club de ju-jitsu a côté de chez toi, vas-y fonce mais moi pour la self je vais aller voir mes potes profs de ju-jitsu et leur demander comment on fait de l’anti ju-jitsu 😉

En somme, il n’y a pas de réponse unique. Le choix dépend de toi, de ton environnement et de tes préférences. Mais une chose est sûre : peu importe ce que tu pratiques, l’essentiel est de t’entraîner avec sérieux et régularité.

J’ai choisi pour ma part de m’entraîner avec des potes qui sont issus de la sécurité ou des forces armées avec une bonne base pieds-poings et de la self pragmatique entre nous (j’espère te les présenter bientôt).

Puis je fais des formations ou des stages à côté pour aller chercher des éléments particuliers pour enseigner quelque chose de précis (Krav; KAPAP, arts martiaux philippins etc…)

Si une seule discipline est disponible près de chez toi, commence par là et adapte-toi en chemin.

 


L’Importance de l’Enseignant

Le choix de ton enseignant est tout aussi crucial que celui de la discipline. Un bon professeur peut transformer ton expérience et t’apprendre des choses qu’aucune vidéo ou livre ne pourra remplacer.

Mon expérience personnelle

Quand j’ai voulu me former au krav-maga, je suis allé dans un club près de chez moi.

Mais rapidement, je me suis rendu compte que cela ne me convenait pas. Pourquoi ? Parce que j’étais déjà ceinture noire de sambo de combat et que j’avais de solides bases.

Je voulais quelque chose de pragmatique et adapté à mes besoins, mais tout recommencer a zéro, trop de perte de temps…

En cherchant sur Internet, je suis tombé sur Lior Offenbach.

Son style et sa manière d’enseigner m’ont immédiatement parlé.

J’ai alors choisi de suivre une formation intensive d’une semaine avec lui pour devenir instructeur. (Ah oui je vais faire un article sur ça aussi)

Contexte et pragmatisme

Une formation courte mais intensive peut être extrêmement utile si elle est bien structurée et dispensée par un expert.

Le plus important est que l’enseignant transmette des compétences adaptées à tes objectifs et à ton niveau.

Un bon enseignant sait aussi s’adapter à chaque élève.

Il ne s’agit pas seulement de techniques, mais aussi de la façon dont elles sont transmises.

Un excellent formateur te donnera des bases solides et t’aidera à progresser rapidement tout en respectant tes acquis précédents.

Si tu as le choix au début et que t’as un doute par rapport a l’homme ou à la femme qui enseigne, pourquoi ne pas essayer un autre club?


Alors, qui gagne entre self-défense et sports de combat ?

La réponse dépend de toi. Si tu veux te sentir prêt pour faire face à une situation d’urgence, la self-défense peut être une bonne base mais vas boxer quand tu peux pour avoir un bon gauche -droite en ligne bordel!!!

Mais attention à ne pas tomber dans l’illusion de l’invincibilité ! Ajoute à cela un entraînement régulier et technique inspiré des sports de combat, et tu seras près à relever tous les défis… ou à les éviter, ce qui est souvent la meilleure décision.

Et toi, tu te situes où dans ce grand débat ? Fais-nous part de tes expériences et n’hésite pas à sortir les gants… ou le clavier pour répondre dans les commentaires. Parce qu’après tout, c’est toujours plus drôle de débattre que de se prendre un coup dans les parties… non ?

Pour d’autres articles sur la self-défense ou le combat, tu peux cliquer ici

Je remercie mon pote Mika qui m’a fait compléter l’article après relecture en vous mettant plus de lien et en soulignant effectivement que dans notre pratique, on privilégie une boxe avec saisies, clinch , projections et suite au sol si besoin.

Et pour terminer je viens de tomber sur un article de Lior Offenbach qui décrit bien la problématique du moment et explique comment on en est arrivés là :

« Le krav maga en général s’est perdu depuis longtemps

La plupart des écoles enseignent des techniques absurdes, la plupart des étudiants se feront mordre par n’importe quel étudiant d’un an en muay thai, boxe ou lutte, sans parler de la confrontation à la réalité qu’ils auront si, Dieu nous en préserve, ils doivent se battre dans la rue.

Les promoteurs intelligents ont amené le krav maga aux classes moyennes et supérieures, dont les chances de se retrouver dans une situation délicate dans la vie réelle sont proches de zéro, et ils viennent deux fois par semaine pour transpirer, porter le t-shirt et profiter de l’entraînement (ce qui est très bien tant que l’on connaît ses limites).

J’ai eu une discussion très intéressante avec une ceinture noire de bjj de haut niveau qui m’a dit que si vous voulez un grand nombre d’adeptes dans votre salle de sport, vous devez séparer les vrais combattants des autres, car les gens qui s’entraînent 2 fois par semaine pendant des années seraient dévorés par ceux qui s’entraînent pendant un an mais qui s’y investissent vraiment.

Je suis tout à fait d’accord pour que les objectifs de l’entraînement soient différents, à condition que les limites soient claires et explicites.

les gens ont commencé à considérer le krav maga comme du bulshido et nous perdons le respect de beaucoup dans le monde entier.

Pour tout vous dire, je suis d’accord avec eux.

Des vidéos de techniques peu utilisées, des étudiants qui battent des bras et des jambes sans raison dans ce qui semble être un combat de jeunes enfants non entraînés, des attaquants statiques et, dans l’ensemble, cela ressemble à de la merde.

Les leaders de la scène ne s’entraînent pas, enseignent des conneries et s’appuient sur un professeur décédé qui n’est plus là depuis des décennies.

En tant que personne qui croit vraiment au krav maga, ma seule suggestion est la suivante

Enseignants – allez vous entraîner et faites passer vos élèves avant tout.« 

                                                                                                                      Lior Offenbach

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